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Membre du Comité de pilotage de la Coalition mondiale

Fédération internationale pour les droits humains (FIDH)

La vocation de la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) est d’agir concrètement pour le respect de tous les droits énoncés dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme, les droits civils et politiques, mais aussi les droits économiques, sociaux et culturels.

La FIDH fédère aujourd’hui 141 ligues dans 100 pays. Elle coordonne et soutient leurs actions et leur apporte un relais sur le plan international. La FIDH, à l’instar des ligues qui la composent, est non-partisane, non-confessionnelle et indépendante de tout gouvernement.

La FIDH protège les défenseurs des droits de l’Homme et mobilise la communauté internationale en faveur de la reconnaissance de leur rôle et de leur nécessaire protection.

La FIDH soutient quotidiennement les victimes de torture, crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide en les accompagnant tout au long de leurs démarches judiciaires. Elle a contribué de façon significative à la création de la première Cour pénale internationale permanente, entrée en vigueur le 1er juillet 2002.

La FIDH effectue un travail de publicité et un lobbying permanent auprès des instances intergouvernementales et met en place des missions d’enquête et d’observation judiciaire, et des programmes de formation des militants des droits de l’Homme.

Grâce à ses études, la FIDH a démontré que la peine de mort est appliquée universellement de manière injuste et discriminatoire, qu’elle est prononcée dans des conditions incompatibles avec les principes du procès équitable et qu’elle constitue une forme de torture incompatible avec le droit au respect de la dignité humaine.

Date de création

1922             

Type de structure

ONG             

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Contact

17 passage de la Main d'Or
75011 Paris
Téléphone +33 1 43 55 11 56
Fax +33 1 43 55 18 80

Documents

Document(s)

La peine de mort et l’interdiction de la torture et des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants

le 21 août 2021


2021

Coalition mondiale

Rapport d'ONG

Traitements et peines cruels, inhumains et dégradants

en
Plus de détails Voir le document

Les organisations signataires sont convaincues que la peine de mort est incompatible avec l’interdiction de la torture et des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, qui est une norme impérative du droit international (jus cogens), et doit donc être abolie. La peine de mort n’est tolérée par le droit et les standards internationaux que dans la mesure où elle ne peut être imposée que pour les crimes les plus graves et appliquée de manière à causer le moins de souffrance possible. Cependant, les organisations signataires estiment que, de la condamnation à l’exécution, la peine de mort cause inévitablement des dommages physiques et des souffrances psychologiques assimilables à de la torture ou à des mauvais traitements.

Le présent document de position expose dans quelle mesure les organisations internationales et régionales ont déjà reconnu une violation de l’interdiction absolue de la torture dans l’application et l’imposition de la peine de mort.

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