ONG et Europe main dans la main

Plaidoyer

le 28 février 2010

Une militante qui travaille avec le barreau américain des avocats explique que ses projets ont déjà reçu deux subventions. « Une des raison de notre réussite, c‘est qu’ils comprennent beaucoup de sujets avec un suivi de l’arrestation jusqu’à l’exécution. Avec une attention particulière aux minorités ethniques, aux handicapés mentaux et aux pratiques des forces de l’ordre. Nos rapports portent sur le long terme, même au Texas nous projetons de discuter avec des prochains cabinets et gouvernement qui, dans ce futur, nous écouterons peut-être », détaille-t-elle pour expliquer aux autres quels critères lui ont permis de recevoir des financements européens.
Les institutions européennes et les Etats sont eux reconnaissant du travail des associations.

« Associations, venez nous voir en ambassade »

Un membre de la délégation française à Genève insiste : « Le partenariat est fondamental sur la peine de mort ; on ne peux rien faire sans les ONG. Nous avons besoin de vous et d’être en synergie avec vous. Alors que la France présidait l’union, l’exécution d’un mineur devait avoir lieu au Yemen. Nous sommes intervenu au niveau du président yéménite. Il a suspendu cette peine. Mais nous manquions de partenaires sur place pour gérer la suite, notamment la tradition locale du prix du sang, pour que la famille de la victime ne soit pas lésée. Associations, mettez vous ensemble et venez nous voir en ambassade. Si une ne peut vous recevoir, allez en voir une autre d’un pays de l’Union. »
Un dernier conseil : oui, la Commission européenne peut soutenir discrètement une association. Une aide financière pour un projet ou une association clandestine dans un pays où elle est interdite. A bon entendeur, salut.

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