Membre du Comité de pilotage de la Coalition mondiale

Tunisie

Coalition nationale tunisienne contre la peine de mort

La CTCPM a été crée en 2007 et reconnue légalement en 2012 après la chute du dictateur Ben Ali. Héritière du combat pour l’abolition de la peine de mort depuis la moitié des années 1970 de plusieurs générations de militant(es) et d’organisations du mouvement démocratique tunisien, la CTCPM se donne comme objectifs définis par sa charte et ses statuts :

– D’obtenir l’abolition de la peine de mort en Tunisie
– La mission de promouvoir un large mouvement citoyen en faveur de l’abolition
– D’agir auprès des autorités afin que la Tunisie rejoigne le camp des Etats abolitionnistes

Elle regroupe les associations suivantes :

1- La Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme (LTDH)

2- L’Organisation Contre la Torture en Tunisie (OCTT)

3- L’Association Tunisienne des Femmes Démocrates (ATFD)

4- L’Institut Arabe des Droits de l’Homme (IADH)

5- L’Association des Femmes Tunisiennes pour la Recherche et le Développement (AFTURD)

6- Le Réseau Doustourna

7- La Ligue des Écrivains Tunisiens Libres (LETL)

8- Le Centre de Tunis pour la liberté de la presse (CTLP)

Date de création

2007             

Type de structure

ONG             

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Contact

5 rue de l'Atlas
1er étage
1002 Tunis
Téléphone +216 71 353 417
Fax +216 71 352 671

Documents

Document(s)

La peine de mort et l’interdiction de la torture et des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants

le 21 août 2021


2021

Coalition mondiale

Rapport d'ONG

Traitements et peines cruels, inhumains et dégradants

en
Plus de détails Voir le document

Les organisations signataires sont convaincues que la peine de mort est incompatible avec l’interdiction de la torture et des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, qui est une norme impérative du droit international (jus cogens), et doit donc être abolie. La peine de mort n’est tolérée par le droit et les standards internationaux que dans la mesure où elle ne peut être imposée que pour les crimes les plus graves et appliquée de manière à causer le moins de souffrance possible. Cependant, les organisations signataires estiment que, de la condamnation à l’exécution, la peine de mort cause inévitablement des dommages physiques et des souffrances psychologiques assimilables à de la torture ou à des mauvais traitements.

Le présent document de position expose dans quelle mesure les organisations internationales et régionales ont déjà reconnu une violation de l’interdiction absolue de la torture dans l’application et l’imposition de la peine de mort.

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